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  • Le cochon est l'invité principal des repas de fins de marchés ethniques et ceux de Dong Van, Meo Vac, Bac Ha présentent des bancs ou s'entassent toutes les parties de la bête en des pyramides peu ragoutantes. (Souvenir de la maman de P.V. qui a failli s'évanouir à ce spectacle)

    Mais la viande est délicieuse, d'un élevage en liberté complète, le cochon ayant mangé ce qu' il a trouvé dans la nature. C'est le constituant de soupes de pâtes, type pho,  largement parfumées en herbes aromatiques.Agapes et ripaille H'Mong 2

    Agapes et ripaille H'Mong 2

    Agapes et ripaille H'Mong 2

    Agapes et ripaille H'Mong 2

     

    Agapes et ripaille H'Mong 2

     

    Agapes et ripaille H'Mong 2


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    Passoires des Cochonneries H'Mong

    Agapes et ripailles de H'Mong

    Le marché hebdomadaire, dans les montagnes est  l'occasion pour les ethnies minoritaires du Tonkin, pour se rassembler autour des actes d'achats/ventes, de se rencontrer entre villages, de faire connaissance entre jeunes hommes et jeunes filles, de fêter ça autour 'un verre et, même seuls, de manger dans les nombreuses gargotes de l’événement.

    Agapes et ripailles de H'Mong

     

    Agapes et ripailles de H'Mong

     

    Agapes et ripailles de H'Mong

     

    Agapes et ripailles de H'Mong

    Agapes et ripailles de H'Mong

    Agapes et ripailles de H'Mong

     

    Agapes et ripailles de H'Mong

     


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  • Le H'Mong de la moto 

    Le H'Mong de la moto 

    Le H'Mong de la moto 

    Le H'Mong de la moto 

    Le H'Mong de la moto 

    Le H'Mong de la moto

     

    Le H'Mong de la moto

     

    Le H'Mong de la moto

    Le H'Mong de la moto

    Le H'Mong de la moto

     

    Le H'Mong de la moto

     

    Le H'Mong de la moto

     

     

     

     


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  • La différence doit se situer dans l'expression du regard

     

     

     

    Tchador d'ici, alors j't'adore

    Tchador d'ici, j't'adore alors

     

    Tchador d'ici, alors j't'adore

     

     

    Tchador d'ici, alors j't'adore

    Tchador d'ici, alors j't'adore

     

    Tchador d'ici, j't'adore alors

    Tchador d'ici, alors j't'adore

    Tchador d'ici, alors j't'adore

    Tchador d'ici, alors j't'adore

    Tchador d'ici, alors j't'adore

    Tchador d'ici, alors j't'adore

     

     


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  • Novembre 2019, le tourisme Vietnamien "progresse'

     

     

    Que de touristes!

     

    L’information a été annoncée par le ministre de la Culture, des Sports et du Tourisme, Mr Nguyên Ngoc Thiên, lors d’une séance de la 8e session de l’Assemblée nationale (AN) tenue à Hanoï, le 31 octobre.

    Selon le ministre de la Culture et du tourisme, au 31 octobre 2019, au cours de la période 2015-2018, le nombre d'arrivées internationales est passé de 8 millions à 15,5 millions. Les visiteurs nationaux ont également grimpé de 57 millions en 2015 à 80 millions en 2018, contribuant à hauteur de 8,4% au PIB.

    Le Vietnam a également accueilli 14,5 millions de visiteurs internationaux au cours des 10 premiers mois de 2019, en hausse de 13% par rapport à la même période l'an dernier, a déclaré le ministre.

     

    Que de touristes!

     

     

    On est content pour le Vietnam!!! Sincèrement  !!!

     

    Mais, évidemment, les  effets ne sont pas négligeables, puisque, en premier lieu, cette formidable poussée de visiteurs s'est accompagnée en 2019 d'une baisse des touristes Francophones.

    Une conséquence funeste est que les classes de langue Française ferment les une après les autres, que les guides francophones n'ont plus beaucoup de travail et que les prestataires locaux dirigent leur offre vers des thèmes plus  orientés vers les goûts asiatiques, Sapa en étant le plus bel exemple: Un charmant village qui me rappelait Chamonix, il y a 15 ans, un "Barnum Village" actuellement, pour Singapouriens, Japonais et Chinois.

    Que de touristes!

    Nha Trang, si vous voulez vivre la nuit, boites de nuit sur des îles, plages avec commodités occidentales, piscines à vagues et apprendre le Russe 

     

    Si l'on ajoute que les Vietnamiens saisissent les moindres vacances ou WE pour visiter leur pays, par groupes, quelques fois de 40 à 50 personnes, on aura compris que l'offre hôtelière sur les sites devient insuffisante durant leurs vacances, mai, septembre, Jour de l'An, Têt.

    E Booking et consort vont continuer a se régaler en évitant que l'argent des touristes occidentaux ne vienne s’égarer en Asie. C'est une des raisons pour laquelle les locaux se tournent vers Japon, Singapour, Sud Corée, Russie, etc.... pour se conformer aux formes d'accueil que ces visiteurs apprécient.

    Que de touristes!

    Futur KFC ? 

    Le contact avec les locaux devient plus intéressé, les ethnies rencontrées, parlent excellemment bien l'Anglais, proposent un artisanat local venu de Chine, et, pire, on aménage des œuvres métalliques  "artistiques" sur les magnifiques rizières en terrasses de La Pan Tan:

    Que de touristes! 

    Des sites naturels complètements gachés

     

    On construit des Hôtels à tour de bras à Dong Van et Mu Cang Chai qui affichaient déjà surbookés il y a 1 mois.

    Les autres sites touristiques du pays sont concernés, par exemple Mui Ne et Nha Trang pour les Russes et le must reste la Baie d'Halong: Pas un seul visiteur ne veut revenir chez lui et avouer qu'il n'a pas sillonné en bateau la " Merveille Naturelle", classée plusieurs fois par l'Unesco pour sa richesse esthétique  et géologique.

    Que de touristes!

    Futurs "vieux c..." qui diront peut-être : "C’était mieux avant". Pas sur!

    Alors, pour compenser ou profiter ou accompagner (rayer la mention inutile) ce sur-embouteillement de jonques, les autorités ont augmenté les droits de visite: Ils sont passés depuis quelques temps a 12 euros/ pers/ jour et le nouvel embarcadère de Ben Chai, a 25 euros/personne.

    Que de touristes!

    Ils ont même envisagé, ces derniers jours d'augmenter encore,  très fortement ces droits. Ce n'est que partie remise, assurément. A noter quand même que cela ne met  pas ce tarif au niveau des sites équivalents dans le monde.......Allez au Mont Saint Michel, par exemple Mais il va falloir ajouter la location d'une jonque avec équipage, le prix éventuel d'excursions, les repas.

    Attention, sur les compagnies "prix d'attaque", excursions, canoës, Tai Chi, repas, même, ne sont pas compris.

    Que de touristes! 

    Il reste la solution de louer une jonque qui part de Bai Thu Long pour parcourir des sites en dehors des horaires des autres compagnies, mais les prix ne sont pas plancher.

     

    Alors agences et routards ont trouvé une solution pour diminuer le coût, aller a Cat Ba et naviguer dans le Baie de Lan Ha. Bonne idée, mais les jonques de Cat Ba ne sont pas réglementées par Halong mais par la capitainerie de Hai Phong , moins regardante sur les conditions de sécurités (pas supervisées par l'UNESCO). Apres tout, on espère toujours en réchapper, mais le problème c'est que depuis deux ans que les jonques prolifèrent dans cet espace plus restreint (Les grandes compagnies naviguent sur les trois baies, Halong, Lan Ha, Bai Thu long), Lan Ha est devenue très sale, un vrai bouillon de culture après les intempéries qui ne se résorbent pas entre les pics les plus rapprochés.

    Que de touristes!

    Barnum pour les Chinois

     

    OK, cet article est un bémol aux rêves des voyageurs, mais évidemment ce sont des infos que vous ne trouverez pas sur les forums ou, sous des pseudos, agences et propriétaires de jonques communiquent en faveur de leurs intérêts.

     

    Que de touristes!

     Alors,on va rester sur une note d'optimisme raisonnable a propos du Delta du Mékong. Certes la surpopulation touristique va envahir les sites de caramels a la cannelle, des gâteaux de riz souffles ou de restos de Poissons Oreille d'Elephant  ( institutions chères a P. V.).

    C'est cet afflux qui maintient l’activité des derniers marchés flottants, jusqu’à ce que le dérèglement climatique fasse envahir la région par la mer.

    Que de touristes!

    Le crépuscule des marches flottants

    Que de touristes!

     Heureusement, il reste quelques guides francophones qui vous amèneront encore, sur des sites peu fréquentés, au contact des habitants et vous feront partager une culture Vietnamienne omniprésente pour des prix non adaptés aux cours occidentaux.

     


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  • Fin de la moisson du riz dans le nord

    Aux premiers jours de novembre, les rizières du nord sont revenues en jachères. Il n'y a plus guère qu'à Yen Minh, Ban Pho ou Lung Cu que les derniers épis vont  tomber sous des volées de faucilles

    En plaine on finira les derniers jours sans froid par des cultures maraîchères. On reprendra labourage et piquage au moment du Têt.

    Par contre, en montagne, il fera encore trop froid et il faudra bien attendre avril pour remonter les marches des terrasses.

    L'argent de la récolte empochée, les marchés hebdomadaires vont être, encore quelques fois le théâtre  d’échanges de produits et de festivités fortement arrosées. Et puis, la froidure arrivée, les femmes vont sortir les nécessaires de couture, les hommes jouer aux cartes. Ils vont mettre des anoraks sur leurs costumes ethniques et les lieux de rencontre vont se ternir avec les rizières.

    Vraiment, de novembre à Avril, ce n'est pas le bon moment pour venir voir les Montagnes du Tonkin!

     

     

     

     

     

     


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    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Dans un pays ou les activités sont restées très souvent manuelles dans des paysages somptueux, l'attitude des Vietnamiens est très paradoxale: Ils peuvent aussi bien martyriser outrageusement la nature , et la vénérer religieusement.

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature 

    Si les usines rejettent leurs eaux usées dans les rivières le particulier  s'y débarrasse souvent de ses sacs plastiques. omniprésents au pays.

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    La Baie d'Halong Terrestre, classée par l'UNESCO ?  Le tas d'ordures en fait partie ?

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Et pourtant, leurs enfants sont éduqués pour respecter cette nature

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Et ils sont capables de percer un mur pour le laisser traverser par les branches d'un arbre.

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Quand on construit un mur , on le fait contourner l'arbre plutôt que couper celui-ci.

     

    Cette vénération de la nature se traduit depuis trois ans par cette précipitation des citadins vers des champs de fleurs pour s'y faire photographier. Fin octobre, début novembre, les hôtels sont complets à Dong Van, les jeunes Viets (et les autres) se précipitent pour voir les champs de sarrasin en fleurs dont les propriétaires demandent un droit d’entrée qui leur assure une meilleure subsistance que le riz ou le mais.

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Dans les pépinières de la banlieue de Hanoi,on attire aussi les amateurs 

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Sur la route entre Méo Vac et Dong Van, champs de sarrasins, droit d’entrée: 20 000 dongs,

     

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    On a créé des massifs avec des observatoires..........

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    ..................d'ou l'on prend des images romantiques à souhait..........Gâchant par ailleurs le charme du "tout naturel"

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

      

    Les champs de thé ont cet avantage qu'ils sont photogéniques toute l’année. Alors on peut investir dans des commerces permanents de loueurs de costumes tribaux. Mise en scène, effectivement mais une ambiance charmante . Un beau moment au milieu de citadins venus s'amuser, s'aimer, rire, et les autochtones, de vrais H'Mong Fleur qui, outre les costumes vendent herbes médicinales, thé, évidemment, et autres produits de leurs récoltes

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Paradoxe, le Vietnamien dans la nature

    Envahie par les sarrasins 

     


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